Non à la Prescription

Témoignage Publié le 05.12.2017

Non à la Prescription

L’IMMEUBLE DES PREDATEURS.

MOI : Victime (de A, D et R, inceste familial), de M, J, M et P (voisins de l’immeuble) et de J-Y (centre équestre) (pédophilies). Mon père a obtenue la garde à la séparation de ma mère et ayant trouvé un appartement m'a mise en nourrisse en dessus de chez nous, chez un couple la femme était nourrice qui avait 3 fils et une fille A, D, P et C En 1975.

J'avais 5ans et là j'ai commencé à subir des attouchements sexuels par le mari R leur père (décédé), qui s’est arrêté 2 ans après, le fils cadet D repris le flambeau ! Ainsi que le fils aîné A, âgé aujourd’hui de 68 ans, qui a été auditionné en libre et a avoué les faits mais pas poursuivi pour prescription en sachant que sa femme est assistante maternelle à son domicile.

Un an après, en 1976, j’avais 6 ans, mon père est tombé amoureux de leur fille C qui devenait ma belle-mère. D et A ne venaient pas tous les deux en même temps mais nous rendaient visite très souvent et dormaient le week-end et les vacances scolaires. Je me souviens de A, qui avait fait croire avoir perdu ses clés pour rester attendre le retour de ses parents qui étaient en vacances pour profiter des abus qu’il m’infligeait dans ma chambre sur un matelas gonflable à coté de mon lit et continuait à m'obliger à effectuer divers jeux sexuels sur sa personne (masturbations et fellations qui me donnait des hauts de cœur, jusqu’à éjaculation), qu’il essuyaient avec un mouchoir en tissus. Et sur moi ils frottaient leur sexe sur mon vagin et éjaculaient sur mon corps ! Cela durera pendant 10 ans jusqu'à l'âge de 14 ans. Mais j’avais gardé dans ma tête le signe très distinctif (la tâche de naissance sur les parties de A).

1984, à l'âge de 14 ans, chez mon père, lors d'un weekend, A est venue dormir ma chambre. Celui-ci à profité de l'absence de mes parents qui partaient au marché, pour me dépuceler avec force, j’avais mal et je saignais avec tout son sperme sur mon petit ventre. Mais malheureusement, ils n’étaient pas les seuls prédateurs de l’immeuble. J, le fils d’une voisine (il est décédé aujourd’hui), M, le fils d’une autre voisine et M, le fils d’une autre voisine, s’était passés le mot, me bloquais en dessous des escaliers et dans les caves et me demandaient de les masturber ett de leur faire des fellations. Cela à chaque fois que mon père m’envoyait faire des courses, eux me surveillait quand je rentrais. J’étais tétanisé !

En 1984, j’avais 14 ans, j’ai été placée en foyer de la DASS jusqu'à ma majorité par le juge des enfants. Dès le premier jour de placement, j’avais arrêté d’uriner et de faire mes tocs. En 1985, j’avais 15 ans, le calvaire a empiré. La DASS me trouvant très autonome, m’envoyait en formation en centre équestre à Maignelay Montigny dans l’Oise. Je fus accueillie par un ancien combattant de la guerre d’Indochine, le chef J-Y (décédé), qui pendant la petite maison de la prairie, après manger me caressait le vagin ! J’étais tétanisée, je me disais ça y est cela recommence ! Mais j’en avais une peur bleue, car celui-ci avait gardé de la guerre des fusils et des grenades dans la vitrine de son bureau. Le soir sa chambre étant à coté de la mienne, il me rendait visite pour continuer ses abus ! Cela à duré 2 ans.

Je me suis rendue le 9 avril 2012, au commissariat pour déposer plainte contre A malgré la prescription. En juillet 2015, l’agresseur A, accepte une audition libre et avoue quelques faits mais n'est pas poursuivi à cause de la prescription, tout sachant qu’il exerçait la sécurité des écoles de Paris (retraité cette année 2017). Mais sa femme est assistante maternelle a son domicile actuellement. J'ai deux preuves tangibles : ses aveux en audition libre et un signe très distinctif sur ses parties génitales. La loi doit passer a l'allongement de 20 ans à 30 ans mais non rétroactive, tout en sachant que j'ai des preuves et que j'aurais 48 ans au mois de mai...

AIDEZ MOI A FAIRE VALOIR UN PROCÈS !!!