AA. Giscard d'Estaing, présidente de la Fondation pour l'Enfance explique dans son édito : "Nous inaugurons ce premier numéro en abordant un des sujets les plus douloureux qui puisse toucher l’enfance, sujet qui demeure encore largement tabou : l’inceste. Chacun peut comprendre ce que recouvrent ce mot et ces faits, alors que, jusqu’à une date récente, ils n’avaient pas de réalité dans le code pénal. La loi du 8 février 2010, fruit d’une volonté parlementaire, est ainsi venue compléter les dispositions du code pénal relatives aux viols, agressions et atteintes sexuelles commises sur des mineurs, permettant de qualifier d’incestueuses ces incriminations dès qu’elles ont pour cadre la cellule familiale.
Nous vous proposons ici de croiser les regards que portent sur ces nouvelles dispositions légales des victimes, des associations, des praticiens de la justice et des législateurs.
J’ajouterai que depuis plusieurs années la Fondation participe à la création d’Unités médico-judiciaires dans des établissements hospitaliers. Ces unités, qui reçoivent essentiellement des enfants victimes d’agressions sexuelles, permettent une prise en charge multidisciplinaire dans un même lieu, rassurant et adapté à l’enfant, au contact de professionnels de l’enfance.
Loin de vous imposer un point de vue unique, la Fondation pour l’Enfance, fidèle à ses missions et à son éthique, souhaite élargir le débat, inviter à la réflexion et à la proposition, bref « Partager pour Protéger ».
je viens de lire l'annonce de la fondation de l'enfance , au moins cela évolue et commence a bouger et je trouve cela génial qui veulent élargie le débat à la réflexion et aux propositions , ça serais bien qui mettre à disposition une prise en charge pour les victimes d'incestes qui ont prescriptions et qui ont besoins de soins à long termes .
ça serais pas mal de le suggérer dans la progressions de leurs programmes de prises en charges des victimes .
a bientôt tatie