Découvrir l'inceste au sein d'une famille et protéger son enfant n'est pas facile. Le dire ouvertement à la personne responsable sans avoir aucune preuve car il n'y a aucun viol mais les faits sont là , (l'attitude de l'enfant, et celle ambigue de la personne concerné (une grand mère)) développe de la culpabilité.
On se sent coupable de protéger son enfant car le coupable n'avoue jamais son crime et use de paroles qui vous déstabilisent. On a peur de s'avouer que son enfant de 4 ans a été abusé par sa grand mère, on n'y croit pas soit même et pourtant mal de ventre, précocité sexuelle, attitudes sexuelle excessive à 2 ans et ayant démarré à 18 mois, agressivité , et impossibilité de s'empêcher d'uriner. Et à chaque fois que l'on parle de sa grand-mère cela recommence. Comment ne pas croire en la détresse de ma fille mais comment ne pas se sentir coupable sans preuve.
Il est difficile d'y croire, il est difficile de le faire croire à son mari.
Heureusement notre fille est petite et ne se souvient de rien ,cela s'est passé avant ses 3 ans. Mais je suis tiraillé entre la colère , l'impuissance et le doute en permanence. même si malheureusement les attitudes de cette femme montre une faiblesse psychologique importante.
Le problème est le soutien dans ces cas là pour tenir le coup à continuer d'aider nos enfants et éviter que cela continue. Mais on ne peut en parler à personne car si non votre enfant serait fuit et regarder d'un mauvais oeil. Alors on est seul, toujours seul face à cette douleur et sa colère.
Merci à votre association d'exister. J'espère que la loi punira réellement ces criminels à vie. Le silence ne doit pas exister et la reconnaissance des victimes doit devenir réelle.