Témoignage femme : Abusée par ma grand- mère, il faut oublier

Témoignage Publié le 20.04.2006
Bonjour,

je suis passer par ici, ce site, il y à environ 3 ans,... j'étais enceinte et des souvenirs non compatibles avec mon bonheur d'être mère m'ont obscurcit l'esprit à me rendre folle à force de douter, des souvenirs pas plus palpables, attrapables que des rêves...je m'en sors ,me bats contre le doute, contre la déception de voir mes plus proches pas plus touchés que ça...je me suis souvenue que ma grand- mère me demandait par moyen détourné de lui "sucer" les seins, puis qu'elle glisser son doit dans mon vagin quand elle me passait de la pomade, puis de lavements à titre répétitif, puis enfin, là juste maintenant,que chaque mois quand j'ai eu mes règles elle me demandait de lui montrer mes serviettes... ça c'est du tout récent, obliger d'ouvrir les yeux sur le processus d'auto- destrucrion que j'engendre quand déboulent les REGLES,...ça commence par la colère, violente, très violente que j'ai l'habitude de reporter sur ma mère, puis le doute et enfin la honte, j'ai calculer au bas mot que je devais être dans le mois à peu près équilibrée pendant une dizaine de jours...

je raconte mon dernier souvenir d'enfance tendre à mes parents , gène, culpabilité évidamment,...malheureusement, pour moi surtout, ma mère continue de voir sa propre mère , le monstre...elle avait coupée les ponts après l'histoire, sa mère lui à raccrocher au nez pour tout dire, mais voilà le monstre se tape quelques crises de démence, toute seule dans son appart', hop elle entre à l'hopital et la soeur de ma mère lui transmet la nouvelle nouvelle, ...ma mère elle va voir le monstre depuis toutes les semaines....c'est sa mère vous me direz mais moi c'est la ou mes veines commencent à se nouer et mes entrailles à me faire broyer du noir,...pour en revenir au sujet, je me rappelle il y à deux mois du souvenir des règles et quasi en même temps, les affaires du monstre, quellques unes entrent chez ma mère parcequ'il à fallut déménager les affaires de la grand- mère..au début j'suis cool, je m'dis c'est son droit moi j'fais mon chemin et mine de rien je suis soulagée de m'être souvenue, je me sens re- ou devenir digne, ça change de dingue. mais chez ma mère j' vois des tasses à café, une boite à coutures en bois, des objets que ma mère me tend et elle me dit tu te souviens de ça et moi pas la réplique de lui dire oui et je me souviens aussi qu'elle me sodomisait, me doigrait, lui montrait mon sang, mon sang à moi, mon sang de femme, on me répète à tort et à travers que maintenant je suis une femme, et je dois lui monterer mon sang, je hais être une femme, je hais les femmes, je hais cette odeur, je hais ce monde, je veux mourir et pire que tout, que dieu me soulage, j'ai honte à en crever, à en vomir, j'ai honte devant dieu, je préférais qu'il n'existe pas, et je crois en Lui, je ne crois qu'en Lui, tous les soirsc'est sur lui que jai compté pendant toutes ces années, sur Lui et Jonny Depp...voilà de quoi je m'rappelle, maman, et toi tu t'enfous et je le dis tu sais ç'est pas tant la colère que je ressens, elle passe, je mens, qui me gène, c'est la douleur et je retiens et tout est toujours là à sa place, en espérant que je passe l'éponge, et le monde continuer d'tourner, et mon père, un rebel, un révolté, un luttant pour la paix se tait, et moi, moi qui suis en train d'écrire, qui ne sent pas mon corps, qui ne sent pas que je vis, moi j'continue d'avoir envie de mourir, tous les mois ça revient...tout ce qui l'évoque même rien provoque une brulure acide au fond dans mon ventre, ...j'veux que ça s'arrête, j'veux vivre, j'eveux aimer, sans me retenir, sans honte, sans peur, sans instabilité, je veux tout, je veux le meilleur mais toutce putain de malheur fait que je suis bien fatiguée, je suis fatiguée...son souvenir se remet à me hanter sans que je e m'en rende compte, qu'estce que je peux faire kess que vous feriez?