Mon père ne manquait jamais une occasion pour m'humilier, me chosifier ; ma mère m'attachait à mon lit, nue, avec un collier de chien autour du cou. Je n'étais pas nourrie. Qu'importe, il me violait, me ceinturait si je me débattait. Aujourd'hui j'ai un petit garçon de quatre ans et demi merveilleux ainsi qu'un compagnon de tous les instants. Jeudi dernier je suis allée affronter celui qui m'a violée pendnat 13 ans (de 4 à13 ans) et je prépare le cap petite enfance. On peut tous puiser quelque part au fond de nous l'étncelle qui nous fera nous relever et nous dire : "je ne suisplus une victime, ils ont échoué". Bonne chance à tous.
Mon père m'appelait son joujou vivant. J'étais à ses ordres. Une petite poupée gonflable mais en vie, avec un coeur et des yeux, et un amour qui ne comprend rien. Il me fouettait juqu'au sang si je ne coopérais pas. je le suivais jusqu'à la cave à bois, il m'enfournait son mouchoir imbibé de vinaigre, pour pas que je n'étouffe ni ne crie, et si je gesticulais trop javais droit à la correction. Ensuite il me faisiat retouner à mes jeux l'air de rien; je restais prostrée.
Il m'a violée dans ma cambre, dans le salon, sur la table de consultation 'il était un médecin réputé), devant des amis. ils riaient de me voir pleurer. ils me forçaient, moi, le "dessert" de leurs oergies, à me masturber sur la table et à faire des gâterie à ces messieurs et à ces dames. J'ai servi de cendrier et de table basse. J'avis un collier étrangleur et un collier à mon nom. En cas de mauvaise prestation, j'étais battue et attachée à mon lit sans boire ni manger. C'est mon histoire; elle a duré 14 ans.
Mon père m'a toujours considérée comme un peu une poupée que l'on peut torturer à loisir. J'ai été fouétté à la cravache, attachée à mon lit et privée de nourriture er de soleil pendant plusieurs jours d'affilée pour des broutilles, violée n'importe quand, sous 'lapprobation de ma mère qui avait un fonds sadique certain. C'est un miracle que je soit encore là pour en parler ! Il m'enfournait un mouchoir imbibé de vinaigre dans la bouche pour que je me taise et que je ne m'étouffe pas. J'ai vécu dans la terreur pendant 13 ans, au vu et au su de tous; Tous complices.Mais j'amadoue la ahine qui me hantait jusqu'alors
je suis en ce moment en pensant à tout celaun peu en colère, triste, lumineuse, hargneuse, teigneuse, amoureuse, lasse.
merci de votre soutien
sans vous je n'y serais pas parvenue
sans vous du forum, je ne pourrais pas avancer dans ce combat de tous les instants contre ce monstre : la troture et le viol de la petite fille qu'on a été....
Bravo pour ton courage!!!!