Je vous raconte mon histoire parce que j' ai beau en parler autour de moi ça ne va pas mieux pire je pète les plombs et pleure beaucoup aider moi Bonjour , je m' appelle delphine mon oncle à abusée de moi enfin il a profiter de le situation ma mère seule avec cinqs enfants pauvre mal aimées voir pas du tout en tout cas c'estle ressenti que j'ai ... Il nous données de l'argent et un peu d'attention je crois ke je ne l'ai jamais repousser !..
C'est terribles comme ressenti du coup je ne me sent pas victime mais complice ( apparemment j'avais entre 8 et 12 ans ) mais mon plus gros soucis c'est que suite à une pénétration anal à l'âge de 11 ans je pense être enceinte !!! (aucun dialogue mère fille et avec les frères et seule on n' à appris à ce déteste les uns les autre donc pas de communication entre nous ) mais depuis "1 jour sur 2 " j'ai toujours ce ressenti d'être enceintes kit à avoir un ventre de six mois j'en peut plus mais j'ai plein d' autre problème comme de me visualisés dans pas de scénario de mort , en grand manque d'affection Pour dix francs j'ecarter les jambes J'ai maintenant 25 ans et je suis perdu dans ma tête à envie de tout envoyer mais pour faire koi et où . ??? J'attend des réaction s'il vous j'besion d'aide
Prendre conscience d'avoir subi quelque chose de terrible est déstabilisant : se sortir d'un pseudo équilibre est très difficile, amène à pleurer, à se remettre en cause, à s'en vouloir, à ne pas se sentir mieux - en tout cas pas bien -, à péter les plombs, ... : ce n'est pas grave, c'est bien naturel et ça aide à faire le vide et à se reprendre en main.
"mon oncle à abusée de moi", "il a profiter de le situation ma mère seule avec cinqs enfants" : le contexte étant posé, il est important de ne pas perdre de vue la notion d' "abus", le fait qu'il ait "profité".
"Il nous données de l'argent et un peu d'attention", "je crois ke je ne l'ai jamais repousser" : un parallèle bien logique dans une situation où une petite fille qui se construit accepte naturellement ce qu'un référent adulte lui propose, lui fait miroiter.
Il n'en est pas moins que la culpabilité est là, encrée, et qu'il convient que ne pas l'endosser plus longtemps : le coupable est le violeur, juste lui. C'est lui qui manipule, qui oblige sa victime en l'intimidant.
"je ne me sent pas victime mais complice" : on est complice si l'on décide "ensemble" : lui a décidé seul, il vous a fait participer, mais il était seul à décider : c'est important d'avoir ce genre d'argument sans cesse à l'esprit : lui est coupable, pas moi. S'il n'était pas venu vous chercher, vous ne seriez pas allée vers lui pour réclamer des relations sexuelles, vous n'étiez pas en capacité de le solliciter pour cela.
je n'ai pas d'avis concernant le ressenti d'être enceinte, ou les scenarii de mort.
mais d'autres réagiront.
faites vous aider par des spécialistes, psys divers ou autres, eux trouveront des solutions pour vous aider à retrouver un objectif de vie
n'hésitez pas à parcourir le site d'Aivi, les expériences des autres nous permettent de trouver nos propres pistes d'évolution
Courage pour la suite