je me rappel de cette ascenceur, avec un homme aux cheveux chatain clair, grand avec une valise à la main, elle était marron ! il était svelte avec un grand menteau, la quarantaine, il me dit qu'il est médecin, il monte au quatrième étage.Je lui fais un sourir, et il me répond avec ses mains. il arrete l'ascenceur et déboutonne mon pantalon pour y toucher mon sexe si fragile et encore innocent.
Reprise de l'écriture d'une enfance assé boulversé par des reproches, des remords, une haine s'étant installé dans mon esprit et qui n'oublira pas aujourd'hui le désespoire de vivre avec cela toute ma vie. Aujourd'hui j'ai 26 ans, je m'appel Christophe, je suis Gay et je raconte à mon compagnon ce qui c'est passé.je me souviens d'une enfance assé joyeuse avec mes amis et quelques moments propices avec mes frères et mes parents.
. je ne sais pas si je dois continuer d'écrire, mais pour moi est né un sentiment qu'il ne faut pas oublié ces terribles moments que j'ai enregistré dans ma mémoire d'enfant. on voit le monde si beau, si joyeux, je vois la neige dehors, je vais à l'école en classe de ce2. comment ne pas dire, que des enfants de mon age, m'ont emmené une fois en bas de ce batiment si sale qui sent l'odeur de l'urine, et qui s'y passé des choses terrible, ils ont tous profiter de mon corps, je ne disais rien, je ne savais pas si s'était normal ou pas. j'ai gouter à leurs sexes, un par un, ils étaient trois. Ils me tapaient sur les fesses avec un baton et un martinet. et ils me demandaient de prendre du plaisir. je ne pouvais pas. je rester seul dans ce trou, et les enttendaient rigoler de ce qu'ils venaient de faire. je vie avec ce secret, qui ne devrait pas en être, je les connais et les aient revues beaucoup plus tard. leurs mémoires est courtes et n'ont aucun avenir. je voudrais les voirs pourrirs et vivre dans la misère. Vivre avec cette histoire de gamin. Ils ne se rappelent pas aujourd'hui mais quand ils auront des enfants, leurs mémoires et leurs inconscience sera présente. ce qui m'emmene aujourd'hui à dire que j'ai vraiment pas eu de chance, on entend aujourd'hui parler de pédophilie et d'enlèvement:
je me rappel de cette ascenceur, avec un homme aux cheveux chatain clair, grand avec une valise à la main, elle était marron ! il était svelte avec un grand menteau il me dit qu'il est médecin, il monte au quatrième étage.Je lui fais un sourir, et il me répond avec ses mains. il arrete l'ascenceur et déboutonne mon pantalon pour y toucher mon sexe si fragile et encore innocent. Il en profite et ne dit rien, je ne sais pas ce qu'il ce passe mais je prend peu être un plaisir à me faire toucher par un adulte qui ne devrait pas avoir ces gestes avec un enfant. j'avais 7 ans... et je ne l'ai plus jamais revu. je rentre chez moi, comme d'habitude et ne dit rien. Je continu toute les nuits à faire pipi au lit, je ne sais pas pourquoi, est-ce toutes ces histoires qui me hante autant l'esprit, ou est-ce que c'est comme ça, c'est la vie ? aujourd'hui je ne peus pas donner de rapport à ce sujet. J'aurais voulu avoir des parents un peu plus présents, un peu psychologue, nous n'avions aucunes discussions sur notre etat d'esprit. Ils ne voyaient pas dans mes yeux la souffrance que je venais de subir, ils ne se préoccuper pas de ce qui pouvais ce passé dans cette cité qui est le GERMINAL au batiment A2, qu'un enfant de 7 ans venait à cette instant de perdre son avenir mais aussi la confiance et l'amour de ces parents. comment se dire aujourd'hui que des enfants sont maltraités et qu'une minorité dans ce monde si absurde essaye de les protégers. j'ai eu des jeux avec des copains, ou l'ont s'amuser à regarder celui qui avait le plus gros kiki, nous étions que des enfants, on s'amuser et on passé à autre chose. je déteste entendre à la télé ces histoires qui me font rappeler le passé. Le passé devient présent et à l'instant ou j'écris ces mots et dégage ma colère cela devient encore du passé. je voudrais penser à autre chose, je suis abandonner et je suis seul. j'entend constament la sirène des pompiers, quand je suis en voiture, je tremble, j'ai peur, je les entends encore et encore, je regarde dans les rétroviseurs et il n'y a personne. J'essaye de garder que le bons et depuis pas longtemps un avenir lointain avec mon compagnon. Nous avons tous une faces caché, la mienne c'est la haine que je pourrais éprouver si j'apprend qu'on touche à un des enfants qui me sont proches. j'aurais peu être l'ame d'un tueur et oh que oui, je le ferai et sans aucun remord et aucune hésitation. j'ai beaucoup trop culpabilisé et je n'arriverai pas à avancer dans ce sens.
Pedophilie: Enfance Perdue
Témoignage
Publié le 22.12.2006