Relation sexuelles avec mon cousin

Témoignage Publié le 12.11.2010

Bonjour à tous, J'ai pu lire beaucoup de témoignages sur ce site et ça m'a donné envie de livrer le mien. J'ai pu remarquer que pas mal de personnes ont été durement traumatisées par leur expérience.
Moi, pour ma part, j'ai du mal à évaluer l'impact dans ma vie de ce que j'ai subi. En effet, je ne me sens pas mal dans ma peau, mais je ne me sens pas normal non plus. Je vais vous raconter mon histoire avant d'aller plus loin dans les conséquences.

Fotolia_256497_XSVoila, moi je suis un homme et comme beaucoup de garçon j'ai fait vers 12, 13ans la découverte de mon corps et de ma sexualité. C'est vers cet âge que chez les garçon les hormone s'activent et que le corps change, c'est à cet âge que j'ai commencer à me masturber pour la première fois. C'était également le cas pour les autres garçons de mon âge et il nous est arriver de nous masturber en même temps chez un pote, alors que ses parent n'étaient pas là, devant un film porno.

Un jour, en vacance moi et mes parents somment aller dans le Sud rendre visite à mes cousin pour le bapteme du dernier né de mes cousin. Toute la famille était présente et il n'y avait pas assez de place pour tous dormir dans la maison. Alors les parents ont décider d'instaler des tentes et d'y faire dormir les enfants. Moi je devait dormir avec mon cousin de 2 ans mon aîné. J'étais très content de cette sécision car j'avais 12 ans et je penser faire des connerie du stile voler des cigarettes à mon oncle et les fumer avec mon cousin. A l'heure de se coucher dans les tentes moi et mon cousin avons décider de nous masturber. Après tout lui aussi était dans l'âge ou on découvre son corps. Puis il m'a demander de le masturber et j'ai accepte. Ensuite il est allé plus loin et m'a demander de lui faire une felation et j'ai de nouveau accepeter. Ensuite, à son tour il m'en a fait une. Pour moi ce n'était pas la première fois j'avais déja eu l'occasion de faire ça avec mes deux amis les plus proche. Il faut savoir qu'à cet âge on est curieux de sa sexualité et il parait que je suis loin d'être le seul à avoir eu se genre d'expérience avec ses amis.J'ai entendu d'autre témoignage similaire et je ne vis pas mal du tout ces expérences.

Là où sa a dérapé, c'est quand mon cousin est allé encore plus loin et m'a demander si il pouvait me sodomiser. J'ai refusé mais il a insisté et encore insister en me disant des choses du stile je vais pas te faire mal, si t'a mal on arrçete ...ect. J'ai fini par céder et il est passé à l'act. Par la suite les quelque fois dans l'année où nous nous somme revu il a recommencer.

Le pire c'est que j'ai eu du plaisir. Il paraît que chez l'homme la proste c'est le point G (point qui provoque l'orgasme). En tout cas c'est les seul fois ou l'acte sexuel était si intense.

Mais après ses experiences j'ai fini par me demander si je n'était pas homo. En plus cette expérience est tombé pendant mon adolescence, une période où l'on se construit, où l'on s'intéronge et c'est également une période d'instabilité. Aujourd'hui je suis encore jeune (j'ai 23 ans) mais je suis finalement sure de ne pas être homo. C'est vrais que j'ai éprouvé du plaisir mais je ne me sens pas attiré par les hommes.

Maintenant pour parler des conséquences je ne sait pas vraiment quel impacte a eu cette expérience sur moi mais une chose est sure je ne me sens pas normal. J'ai par exemple une sexualité débordante et faire l'amour à ma copine parfois ne me sufit pas puisque qu'il m'est déjà arrivé de me masturber quellques heures après avoir fait l'amour à ma copine. En fait, il faut que j'ai un orgasme tous les jours voir plusieur fois par jour soit en faisant l'amour soit en me masturbant.Au niveau de mes relations avec les femmes je ne cherche pas absolument des histoires serieuses, je veux dire que pour moi une copine qui accepte de sortir avec moi juste pour une relation charnelle ça ne me dérange pas. Par contre, avec le petit nombre de filles des quelles j'aitais vraiment amoureux souvent après l'amour je me sentais géné, voir j'avais un peu honte mais j'ai toujours su passer au de là de ce sentiment. En tous cas, je n'ai jamais dit à personne se que j'ai vécu et je ne le dirais jamais. Il est plus facil pour moi d'en parler à anonymement à des personnes que je ne connait pas.

Comme beaucoup de personnes qui ont témoigné sur ce site je vois un psy mais c'est en raport à mes problème d'addiction aux drogues que je consulte. D'ailleur ça me fait chier de voir un psy j'ai pas l'impression d'en avoir besoin même si lui dit que même si on est pas triste ou qu'on se sent pas mal, ça veut pas dire que tout va bien et qu'il n'y à pas de problèmes. En fait, la seul période ou je n'avait plus beaucoup de libido c'était quand je prenait de l'hero. Depuis que je suis en traitement de substitution elle est revenue comme avant. Moi j'étais bien avec la drogue, j'ai pas trop envie d'arrêter mais je peut pas suivre financièrement et avec la came on fait pas grand chose de la journée et de sa vie or moi je voudrais au moin avoir un travai. Je sais pas si vous comprenez la difficulté de la situation: j'ai pas du tout mais alors pa du tout envie d'arrêter de me défoncer, je me sens bien et en paix comme ça, mais de l'autre côté c'est pas une vie que je peut choisir si j'ai pas envie de finir sans avenir. Je sais pas si mon problème de drogue et le reste vient de se que j'ai vécu mais je n'est aucune raison apparente de me défoncer comme je le fait. J'ai des parent qui sont vraiment extraordinaire et qui me soutiennent, j'ai peu d'amis mais se sont de vrais amis et il n'y a eu aucun drame autour de moi. Je sais pas si l'expérience que j'ai vécu m'a beaucoup marqué et est responsable de mes problèmes d'addictions. J'en ai pas parler non plus à mon psy de se qui c'est passé et je ne lui dirais pas, je pourais pas, en fait je ne peut le dire à personne et personne ne doit savoir. En tous cas mon psy part plus tôt sur la piste du manque de sens que je donne à ma vie et de ma peur de l'avenir et du fait que la mort  me terrorise.

Ps: on m'a déjà dit que la peur de la mort est stupide mais je pense qu'on a tous peur de la mort face à elle et qu'une peur ne se choisi pas: il n'y a pas une peur plus stupide qu'une autre. Si vous êtes arrivé jusque là felicitation pour avoir lu le roman que j'ai pondu. A+

Nous en parlons
C
chaton92
Publié le 07.01.2012
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Bonjours, t' aurai un e-mail pour te parler en privé?