Nous sommes le 29 novembre 2006. ce que je n'ai pas pu faire ou dire pendant des années,j'ose afin de me délivrer de ce fardeau que j'ai sur les épaules depuis plus de 40 ans!
Enfin, je prends le stylo pour m’adresser à toi, Roger B, toi mon géniteur, toi que l’on dit être mon père mais moi, Roger, je ne te considère pas comme mon père mais comme mon bourreau, et comme un monstre, sans cœur, et, dénué de tout civisme. Je m’adresse aussi à toi, Marie-Louise, que je considère aussi comme mon bourreau. Je m’adresse à vous 2, pour moi-même, et mon frère Gilbert, et en hommage à la mémoire de ma vraie maman : Lucienne et de Nénette, ma sœur Anne-Marie aujourd’hui toutes les 2 décédées.
ROGER & MARIE-LOUISE
Cette lettre, je sais que je peux vous la faire car j’en ai parlé, il y a quelques mois, à un policier gradé, qui m’a reçu et m’a écouté avec une grande attention. Par ce policier, je sais que, même s’il y a prescription après 40 ans, je peux vous dénoncer et faire rouvrir le dossier et vous faire mettre en garde à vue. Mais, Roger, aujourd’hui, je te sais âgé et malade avec un cancer de la prostate et Marie-Louise, toi aussi, tu es âgée et malade et pour moi, il est inconcevable que vous décédiez sans que vous sachiez que je peux vous dénoncer pour tout ce que vous m’avez fait subir.
Concernant Maman Lucienne, je sais aussi toutes les souffrances que tu lui as fait endurer de son vivant, Roger, et lorsqu’elle était dans le coma et mourante; et Nénette le savait aussi et Gilbert sait et, beaucoup de gens savent: çà je peux te l’assurer.
Aujourd’hui vous ne quitterez pas cette terre, sans cette lettre, car Roger et Marie-Louise, vous avez été nos bourreaux durant notre enfance, enfance que vous avez détruite et vous nous avez gâchés tout notre avenir, toute notre vie.
Je n’ai pas oublié, Roger, la 1ère fois, où tu as voulu me violer, vers mes 12 ans, à P, dans la cuisine, sur un coin de table, lorsque Marie-Louise était partie accoucher de Jean-Claude. Le jour de ton horrible acte qui est un crime, tu as essayé de me violer et moi j’avais mal , j’avais peur et je ne comprenais pas ce que tu me faisais et tu me disais : « Papa t’aime et si tu aimes Papa, tu dois te laisser faire et surtout ne rien dire à personne et çà doit être un secret entre Papa et toi ». Et moi, j’avais peur, j’avais mal et je ne comprenais pas.
Roger tu n’es pas arrivé à me pénétrer, et tu m’as fait faire autre chose, et pendant très, très longtemps, tu as continué, tu m’emmenais partout, dans les bois, en allant à E, et je devais te faire des choses horribles avec mes mains et ma bouche, jusqu’à ce jour, à c dont je me souviens très bien comme si c’était hier : j’étais habillée en blanc d’une jupe kilt plissée blanche et d’un pull blanc, assise sur ma mobylette, admirant, dans la cour, devant la porte de cuisine, une portée de chiots, avec Pierrette et son père Julot, et, j’ai dit à Marie-Louise ce que tu me faisais faire, et, Marie-Louise s’est mise à me battre en me disant que je n’étais qu’une sale putain et que je t’avais provoqué.
Non jamais, je ne pourrai oublier ces actes horribles. Je sais aussi que Nénette; car elle et moi on se parlait beaucoup, tu lui as, Roger, fait subir les mêmes choses horribles qu’à moi. Quant à toi Marie-Louise, tu nous as battues ma sœur et moi.
Je n’oublierai jamais la 1ère fois où tu m’as battue, dans la chambre à F, toi assise sur le fauteuil, et moi sur tes genoux, et Marie-Louise, tu me battais et tu me battais et j’avais mal et sous la douleur des coups, je t’ai mordue et tu m’as battue de plus en plus fort, j’étais toute petite à l’époque et tu arrivais dans notre vie.
Marie-Louise, toute notre enfance jusqu’à ce que j’entre travailler chez Mme H à S, tu m’as battue et tu battais ma sœur Anne-Marie et quand on se plaignait à quelqu’un, tu niais les faits et tu nous rebattais encore plus fort. Quelqu’un est témoin de tout ce que vous nous avez fait endurer, et, cette personne nous a beaucoup consolé et aidé ma sœur et moi, suite à tous vos sévices, et, encore aujourd’hui, cette personne se souvient et ensemble elle et moi en avons parlé il y a encore 1 an.
Une amie qui avait mon âge, et que je considère aujourd’hui comme ma sœur, et qui se souvient très bien quand un jour , devant elle et une autre petite fille, sous l’emprise de tes coups, Marie-Louise, et de la douleur, j’ai vidé sur toi un pot de chambre plein de déjections humaines et cette amie se souvienttrès bien de cela. Gilbert non plus n'a pas oublié, quant à c, il est revenu vivre avec vous, après le décès de sa nourrice Bernadette; Roger tu venais le battre violemment lorsque tu étais ivre mort, dans la mansarde qui était sa chambre et tu lui disais : » Bâtard, je vais te tuer car ta mère est morte à cause de toi, à ta naissance ».
Oui Roger et Marie-Louise, moi et mon frère nous sommes vivants et nous savons et n’oublierons jamais les sévices que vous nous avez infligés.
Je refuse l’idée que vous puissiez décéder tous les 2 sans vous avoir écrit cette lettre et que vous sachiez toutes les souffrances que nous avons endurées avec vous. Je refuse l’idée que vous décédiez sans savoir aujourd’hui que je peux; malgré la prescription de 40 ans; vous dénoncer et vous faire mettre en garde à vue, et, que je peux être aidée pour cela, pour dénoncer tous les sévices que vous nous avez fait endurer. Je refuse que vous décédiez sans vous dire que je ne vous ai jamais aimé, que je vous aime pas et que je ne vous aimerez jamais, que toi, Roger, tu n’es que mon géniteur mais pas mon père et que toi Marie-Louise, tu n’es rien pour moi.
Vous n’êtes que nos bourreaux et, toi, Roger, un géniteur incestueux et pédophile, car je n’étais qu’une petite fille de 12 ans et de ton sang ; quand tu me faisais ces saloperies.
Je ne vous pardonnerais jamais, mais cette lettre et de savoir que je peux vous dénoncer va me permettre d’aller mieux et d’avancer dans l’avenir.
Roger et Marie-Louise, vous n’avez eu aucune pitié, pour moi, ma sœur, mon frère et vous ne nous avez pas donné d’amour. Roger, tu as fait souffrir Maman Lucienne qui était très brave et Maman Lucienne m’a toujours manqué et elle me manqueras toujours mais je sais qu’un jour, je la reverrai.
Je n’ai donc, aujourd’hui, aucune pitié à vous écrire cette lettre et pour moi c’est une délivrance et aussi un acte de courage et de bravoure.
Vous savez maintenant par cette lettre, le dégoût, la haine et le mépris que j’éprouve à votre égard, à tous les 2.
Que la honte soit sur vous 2, car vous êtes 2 bourreaux d’enfants et 2 monstres. Et allez-vous vous remettre en question, suite à cette lettre et reconnaître vos actes horribles ?
Je ne pense pas car vous n’avez jamais éprouvé aucun regret, durant votre vie à notre égard, et vous n’avez eu aucun respect pour les enfants que vous avez conçus, bien au contraire, vous avez aimé, tous les 2 nous faire souffrir et nous anéantir dès que l’envie vous en prenez.
Je n’ai pas oublié toutes les salissures que vous avez fait courir, sur moi lorsqu’E nous battait mes 2 filles et moi, je connais beaucoup de monde à Pqui m’estiment et savent que vous êtes capables de faire tous les 2 par vos mauvais coups de langue. Tu sais comment on t’appelle Marie-Louise dans P? Eh bien moi je le sais et moi à ta place, j’aurai honte d’être ainsi surnommée mais bon, des gens comme vous n’ont aucune fierté, n’est-ce pas ?
Il vous faudra tous les 2 rendre des comptes auprès de Dieu, car Lui sait que tout cela est la vérité. Vous ne serez pas puni par la Justice de l’homme mais la justice de Dieu sera là pour vous faire expier vos fautes, car Dieu sait ce que, vous nous avez fait endurer à moi en premier puis ma sœur Anne-Marie et ensuite mon frère Gilbert, et tout ce que tu as fait endurer, Roger, à Maman Lucienne.
Je sais que vous n’avez aucun regret de tous les sévices que vous nous avez fait endurer car vous ne vous respectez pas vous-même et n’avez aucune pitié.
Quand vous quitterez cette terre, vous aurez toute l’éternité pour rendre des comptes et expier vos fautes. Vous avez tout mon mépris, tout mon dégoût. Vous êtes 2 êtres méprisables. Je n’oublierai jamais, Marie-Louise, quand j’appelais Maman Lucienne lorsque tu me battais et que j’avais mal et peur sous tes coups, ce que tu me disais : « maintenant c’est moi ta mère car ta mère est morte alors, tu peux l’appeler, elle ne te répondra jamais. » Je n’oublierai jamais ta méchanceté à notre égard, Marie-Louise.
Suite à cette lettre, vous pouvez aller à la police, je n’attends que çà, car je suis déterminée, et pas une seconde, je n’hésiterai à vous dénoncer, alors faites comme vous vous voulez, je m’en moque.
Pour ma protection et celle de tous mes enfants et de mes amis et proches qui me soutiennent, cette lettre sera gardée en photocopies, et en cas de besoin et nécessité remise à qui de droit.
Beaucoup de gens qui m’estiment, me connaissent et m’aident et savent toutes les souffrances que vous nous avez fait endurer, ils me soutiennent dans cette lettre et beaucoup de gens de P savent aussi.
C’est fini Roger et Marie-Louise, je n’ai plus peur de vous 2 et je suis très fière de vous avoir écrit cette lettre, en hommage à ma maman, ma sœur Anne-Marie, mon frère Gilbert et moi-même et de tous les enfants victimes de parents comme vous qui n’êtes que des bourreaux, des monstres, des pédophiles qui s’attaquent à des enfants innocents qui veulent qu’une chose: vivre heureux et dans l’amour de parents dignes de ce nom. Nous n’étions que des enfants innocents et victimes de vos sévices comme beaucoup d’enfants le sont.
Et, combien d’enfants, de nos jours sont victimes de monstres comme vous ? Les statistiques le prouvent, il y en a des millions et des millions et ++++++ d’enfants de nos jours qui sont victimes d’horribles sévices par leurs parents ou d’autres salopards comme vous 2.
Les statistiques nous prouvent aussi que tous ces criminels d’enfants ne sont pas toujours dénoncés et assez punis et que, bien souvent des monstres comme vous 2 vivent tranquillement, sans gêne et honte et sans être dénoncés.
Avec cette lettre que je vous adresse, je me sens délivrée et en paix avec moi-même. Je sais aussi que Dieu sera là pour vous faire rendre des comptes. Cela n’est pas une vengeance de ma part car je vaux beaucoup mieux que vous.
Cela est pour que vous ne quittiez pas cette terre sans que je puisse vous dire tout ce que vous nous avez fait endurer et que je peux vous dénoncer malgré votre âge et la prescription de 40 ans.
Vous allez quitter un jour cette terre en sachant cela , et moi je vais enfin pouvoir vivre en paix et faire le deuil de mon horrible passé en me disant : « mes bourreaux ou plutôt nos 2 bourreaux savent aujourd’hui qu’un jour ou l’autre, on est toujours puni des fautes graves que l’on a commis et qu’il y a la Justice de l’Eternel pour vous faire expier tous vos crimes ».
Roger même les chiens tu les faisais souffrir, je m’en souviens très bien de ce que tu as fait à un chien à H.
VOUS ETES 2 MONSTRES JE VOUS MEPRISE
Je signe car je n’ai plus peur de vous.
MARIE CLAUDE B
Témoignage femme : parce qu'il fallait qu'un jour j'écrive mon calvaire!!
Témoignage
Publié le 01.12.2006