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Thierry.G
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MAMAN, AMOUR AMER, COLÈRE AMOUR
J'ai mit du temps à écrire pour toi
Le temps qu'il m'a fallut pour comprendre
Pourquoi tu n'as pas fait cas de moi
Quand tu a passé tes derniers jours à attendre
J'ai tant cherché les raisons à tant de questions
Dont celle làourquoi ne m'a tu pas appelé ?
Pour pouvoir se parler, dire aurevoir dans l'affection
Que l'on puisse sortir du silence de toutes ces années ?
J'ai du mal avec ce notaire qui m'informe
Alors que cela faisait déjà six mois que tu n'étais plus
Comment as-tu laissé, même avec les formes
Un étranger m'annoncer que je t'avais perdu ?
J'ai biensur revu toutes ces années sans se voir
Juste en échangeant des sms, mail, téléphone si rare
Ou toi comme moi n'avons pu changer tout ce noir
Celui de notre histoire, qui a détruit ma vie sans égard
J'ai pleuré sur ton départ, j'ai hurlé de douleur
Essayant de revoir les meilleurs choses de toi pour moi
Mais j'ai vite compris qu'il ni avait que malheur
Que tu m'avais entraîné si petit, dans ton avenir à toi
J'ai vu défiler devant mes yeux tout tes manquements
Tes laissés faire sur moi par ton nouveau mari
Qui jour après jour à détruit ma vie et son développement
Même avec des circonstances atténuantes, tu as été avec lui
J'ai pensé longtemps que tu resterais après cet homme
Que l'on pourrait s'expliquer et que j’entendrai ton pardon
Mais le ciel ne m'a pas permis cela et a refermé ce tome
Et je reste seul avec mes souffrances, blessures, à perdre la raison
J'ai compris qu'a force de toujours vouloir te protéger
Ne pas voir que j'étais manipulé, je n'ai jamais rien construit
Comme un vampire tu m'as aspiré le sang pour l'avaler
Mais moi j'étais toujours l'enfant, l'adolescent meurtrit
J'ai du connaître et subir le pire par tes décisions
toutes tes absences et abandon, de la part de ton mari bourreau
J'ai grandi seul entouré de gens invisibles, sans affection
Qui n'ont jamais reconnu, cru, vu, la vérité et mes fardeaux
J'ai pourtant le souvenir dans ma peau et âme
Que j'ai aimé une maman de tout mon cœur
Mon amour a été fort, intarissable, même en subissant l'infâme
Seulement le tien ne m'est jamais venu pour mon malheur
J'ai perdu avec toi celui qui était notre étoile
C'était la veille de mes deux ans, tu avais vingt sept ans
Dés cet instant comme une araignée qui tisse sa toile
Sans mon père, je suis devenu un esprit anéanti et errant
J'ai traversé tant d'années sans les voir, les vivre
En moi l'enfant a subit et regardé cet adulte devenu
Et il y a toujours un cœur pour une maman et survivre
Pour toi c'est maman amour amer, colère amour, absolu.
A toi Maman. ( pour toutes les victimes et survivants de l'inceste et maltraitances )
Écrit le mardi 10 avril 2018 à Lagny-sur-Marne, bibliothèque
Par Hugo Gall pseudo de T. G
J'ai mit du temps à écrire pour toi
Le temps qu'il m'a fallut pour comprendre
Pourquoi tu n'as pas fait cas de moi
Quand tu a passé tes derniers jours à attendre
J'ai tant cherché les raisons à tant de questions
Dont celle làourquoi ne m'a tu pas appelé ?
Pour pouvoir se parler, dire aurevoir dans l'affection
Que l'on puisse sortir du silence de toutes ces années ?
J'ai du mal avec ce notaire qui m'informe
Alors que cela faisait déjà six mois que tu n'étais plus
Comment as-tu laissé, même avec les formes
Un étranger m'annoncer que je t'avais perdu ?
J'ai biensur revu toutes ces années sans se voir
Juste en échangeant des sms, mail, téléphone si rare
Ou toi comme moi n'avons pu changer tout ce noir
Celui de notre histoire, qui a détruit ma vie sans égard
J'ai pleuré sur ton départ, j'ai hurlé de douleur
Essayant de revoir les meilleurs choses de toi pour moi
Mais j'ai vite compris qu'il ni avait que malheur
Que tu m'avais entraîné si petit, dans ton avenir à toi
J'ai vu défiler devant mes yeux tout tes manquements
Tes laissés faire sur moi par ton nouveau mari
Qui jour après jour à détruit ma vie et son développement
Même avec des circonstances atténuantes, tu as été avec lui
J'ai pensé longtemps que tu resterais après cet homme
Que l'on pourrait s'expliquer et que j’entendrai ton pardon
Mais le ciel ne m'a pas permis cela et a refermé ce tome
Et je reste seul avec mes souffrances, blessures, à perdre la raison
J'ai compris qu'a force de toujours vouloir te protéger
Ne pas voir que j'étais manipulé, je n'ai jamais rien construit
Comme un vampire tu m'as aspiré le sang pour l'avaler
Mais moi j'étais toujours l'enfant, l'adolescent meurtrit
J'ai du connaître et subir le pire par tes décisions
toutes tes absences et abandon, de la part de ton mari bourreau
J'ai grandi seul entouré de gens invisibles, sans affection
Qui n'ont jamais reconnu, cru, vu, la vérité et mes fardeaux
J'ai pourtant le souvenir dans ma peau et âme
Que j'ai aimé une maman de tout mon cœur
Mon amour a été fort, intarissable, même en subissant l'infâme
Seulement le tien ne m'est jamais venu pour mon malheur
J'ai perdu avec toi celui qui était notre étoile
C'était la veille de mes deux ans, tu avais vingt sept ans
Dés cet instant comme une araignée qui tisse sa toile
Sans mon père, je suis devenu un esprit anéanti et errant
J'ai traversé tant d'années sans les voir, les vivre
En moi l'enfant a subit et regardé cet adulte devenu
Et il y a toujours un cœur pour une maman et survivre
Pour toi c'est maman amour amer, colère amour, absolu.
A toi Maman. ( pour toutes les victimes et survivants de l'inceste et maltraitances )
Écrit le mardi 10 avril 2018 à Lagny-sur-Marne, bibliothèque
Par Hugo Gall pseudo de T. G