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Phelenix
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Je me dis avec le recul de plus en plus: mais c'est pas possible des millions de victimes d'abus sexuels?! Entre l'inceste, les viols de femmes (et d'hommes), les maltraitances physiques infantiles, le harcèlement au travail, le harcèlement sexuel (aussi au travail avec de ce que je lisais 1 femme sur 5 qui sera concernée dans sa carrière), etc.
Mais on vit dans quelle société?
A mon sens, une société qui globalement a été taillée par des individus sociopathes. Pas Jack Nicholson dans Shining. Plutôt George W. Bush ou des traders. Soit des individus qui n'en ont rien à faire de voir l'autre souffrir, sont déconnectés de leur empathie et simplement font et vivent comme ça. Qui calculent chacun aussi qui ne sont pas alliés et unis ensemble mais par définition globalement auto-centrés (la véritable définition de autocentrés qui ne ressentent PAS la souffrance des autres).
Des individus qui se plaçant depuis - à mon sens - des siècles à des postes de pouvoir politique, culturel, idéologique ni plus ni moins ont de fait par leur positionnement à ce niveau influencé la société dans le sens de servir leurs besoins et comme leurs besoins sont ceux de sociopathes, ça a donné une société qui globalement en France de retour dans mon pays comme je le sens sert ces individus là. Et comme je l'ai ressenti en Amérique du Nord c'était encore pire.
Et donc ben les abus sexuels aussi répandus sur tout une frange de la population victime ce n'est à mon sens ni plus ni moins que le plus gros symptômes de cette plaie qu'est le fait que dans notre société, des individus sociopathes à des postes-clé donnent trop souvent les directives pour organiser notre société.
Dans ma réflexion, je réalise que je quitte ma paranoia, j'avais l'impression qu'on vit dans un monde de requins, je nuance, non et surtout je pense aussi que ce n'est pas inéluctable de rester dans cette situation. Mais que ça prendra probablement de gros chocs sociaux et des siècles (?) pour en venir à une société qui ne soit pas ainsi beaucoup trop dominée par ceux que je ressens comme des sociopathes, des individus très froids, très calculateurs, très autocentrés et qui ne ressentent pas la souffrance des autres (qui les ennuie) et agissent donc globalement sans prendre en compte l'autre (sauf si ça sert leurs intérêts). Qui dit simplement utilisent les autres comme des objets ou comme s'ils étaient des robots.
Je me sens victime de cette société qui n'a pas protégé mon enfant. Je suis en colère légitime à mes yeux d'être née dans ce monde où il a été même possible que je sois élevée par une mère sociopathe et approchée par un sociopathe. Peu importe le degré de sociopathie de ma mère, elle est une sociopathe, la perversion narcissique rampante n'est à mon sens que juste une forme de sociopathie un peu plus polissée, un peu moins destructrive en effet que le serial killer des films avec sa tronçonneuse, mais ça reste une forme de violence absolue sur l'autre qui est nié existentiellement.
A l'école aussi j'ai été niée et pas protégée par toute une série de profs soit de ce genre là sociopathe, soit victimes passives qui ne me protégeaient pas des petits sociopathes de mon âge. Et comme on parle de grosses violences, et bien je n'ai pas juste été 'embêtée', j'ai été carrément régulièrement "agressée" verbalement. Au point de vouloir quitter le lycée. C'est quand même un comble de devoir rester dans un lieu appelé école aux mains de petits sociopathes de son âge qui vous agressent et cela parce que les adultes ne vous protégent pas et qu'il y ait des lois qui disent que vous êtes obligés jusqu'à 16 ans ainsi de rester dans ces lieux où fourmillent les petits sociopathes avec vous en liberté.
D'ailleurs les petits sociopathes je les ai ensuite retrouvés collègues pour certains et de jolis sociopathes encore une fois très narcissiques, très bien mis en pli, rien à voir avec les sociopathes de la génération de mes parents; Le visage du sociopathe de 30 ans et de 20 ans comme j'en ai fait l'expérience a changé. Je trouve les sociopathes de 20 ans plus nombreux peut-être mais moins dangereux. Peut-être car simplement cette société est mieux faite pour eux, elle les sert mieux dès lors ils sont moins stressés, moins hargneux. En tout cas c'est vraiment tout ça mon impression. Et puis moi dans tout ça?
Ben moi j'ai été victime d'un sociopathe extrêmement dangereux enfant; j'ai été élevée par une sociopathe, ma mère; je n'ai connu donc que le déni existentiel, renforcé aussi à l'école puis dans les facs (parfois d'élite) où je suis allée; j'ai été broyée parce que j'ai refusé justement au carrefour du choix de devenir une sociopathe, j'ai choisi de subir les coups plutôt que les donner. Et puis là je regarde ma petite vie, concrètement ma petite maison, mon petit travail, mes petits moyens, les petites personnes que j'aime bien avec qui je suis en relation et puis cette société avec sa pression sur mes épaules et puis je me demande ce que je peux bien faire pour cesser de nourrir les sociopathes à toutes les échelles de notre société et puis pousser dans le sens d'une société moins sociopathe. Le réveil est dur pour moi ce matin, mais en même temps j'avoue que je sens qu'il y a des choses faisables pour changer dans le bon sens et en tout cas j'en ai l'espoir et la croyance forte et je me dis comme toujours que ça vaut le coup d'essayer, au moins 'essayer.'
Mais on vit dans quelle société?
A mon sens, une société qui globalement a été taillée par des individus sociopathes. Pas Jack Nicholson dans Shining. Plutôt George W. Bush ou des traders. Soit des individus qui n'en ont rien à faire de voir l'autre souffrir, sont déconnectés de leur empathie et simplement font et vivent comme ça. Qui calculent chacun aussi qui ne sont pas alliés et unis ensemble mais par définition globalement auto-centrés (la véritable définition de autocentrés qui ne ressentent PAS la souffrance des autres).
Des individus qui se plaçant depuis - à mon sens - des siècles à des postes de pouvoir politique, culturel, idéologique ni plus ni moins ont de fait par leur positionnement à ce niveau influencé la société dans le sens de servir leurs besoins et comme leurs besoins sont ceux de sociopathes, ça a donné une société qui globalement en France de retour dans mon pays comme je le sens sert ces individus là. Et comme je l'ai ressenti en Amérique du Nord c'était encore pire.
Et donc ben les abus sexuels aussi répandus sur tout une frange de la population victime ce n'est à mon sens ni plus ni moins que le plus gros symptômes de cette plaie qu'est le fait que dans notre société, des individus sociopathes à des postes-clé donnent trop souvent les directives pour organiser notre société.
Dans ma réflexion, je réalise que je quitte ma paranoia, j'avais l'impression qu'on vit dans un monde de requins, je nuance, non et surtout je pense aussi que ce n'est pas inéluctable de rester dans cette situation. Mais que ça prendra probablement de gros chocs sociaux et des siècles (?) pour en venir à une société qui ne soit pas ainsi beaucoup trop dominée par ceux que je ressens comme des sociopathes, des individus très froids, très calculateurs, très autocentrés et qui ne ressentent pas la souffrance des autres (qui les ennuie) et agissent donc globalement sans prendre en compte l'autre (sauf si ça sert leurs intérêts). Qui dit simplement utilisent les autres comme des objets ou comme s'ils étaient des robots.
Je me sens victime de cette société qui n'a pas protégé mon enfant. Je suis en colère légitime à mes yeux d'être née dans ce monde où il a été même possible que je sois élevée par une mère sociopathe et approchée par un sociopathe. Peu importe le degré de sociopathie de ma mère, elle est une sociopathe, la perversion narcissique rampante n'est à mon sens que juste une forme de sociopathie un peu plus polissée, un peu moins destructrive en effet que le serial killer des films avec sa tronçonneuse, mais ça reste une forme de violence absolue sur l'autre qui est nié existentiellement.
A l'école aussi j'ai été niée et pas protégée par toute une série de profs soit de ce genre là sociopathe, soit victimes passives qui ne me protégeaient pas des petits sociopathes de mon âge. Et comme on parle de grosses violences, et bien je n'ai pas juste été 'embêtée', j'ai été carrément régulièrement "agressée" verbalement. Au point de vouloir quitter le lycée. C'est quand même un comble de devoir rester dans un lieu appelé école aux mains de petits sociopathes de son âge qui vous agressent et cela parce que les adultes ne vous protégent pas et qu'il y ait des lois qui disent que vous êtes obligés jusqu'à 16 ans ainsi de rester dans ces lieux où fourmillent les petits sociopathes avec vous en liberté.
D'ailleurs les petits sociopathes je les ai ensuite retrouvés collègues pour certains et de jolis sociopathes encore une fois très narcissiques, très bien mis en pli, rien à voir avec les sociopathes de la génération de mes parents; Le visage du sociopathe de 30 ans et de 20 ans comme j'en ai fait l'expérience a changé. Je trouve les sociopathes de 20 ans plus nombreux peut-être mais moins dangereux. Peut-être car simplement cette société est mieux faite pour eux, elle les sert mieux dès lors ils sont moins stressés, moins hargneux. En tout cas c'est vraiment tout ça mon impression. Et puis moi dans tout ça?
Ben moi j'ai été victime d'un sociopathe extrêmement dangereux enfant; j'ai été élevée par une sociopathe, ma mère; je n'ai connu donc que le déni existentiel, renforcé aussi à l'école puis dans les facs (parfois d'élite) où je suis allée; j'ai été broyée parce que j'ai refusé justement au carrefour du choix de devenir une sociopathe, j'ai choisi de subir les coups plutôt que les donner. Et puis là je regarde ma petite vie, concrètement ma petite maison, mon petit travail, mes petits moyens, les petites personnes que j'aime bien avec qui je suis en relation et puis cette société avec sa pression sur mes épaules et puis je me demande ce que je peux bien faire pour cesser de nourrir les sociopathes à toutes les échelles de notre société et puis pousser dans le sens d'une société moins sociopathe. Le réveil est dur pour moi ce matin, mais en même temps j'avoue que je sens qu'il y a des choses faisables pour changer dans le bon sens et en tout cas j'en ai l'espoir et la croyance forte et je me dis comme toujours que ça vaut le coup d'essayer, au moins 'essayer.'