A
agathe
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Il fait beau comme jamais
C’est un temps contre nature
Comme le ciel des peintures
Comme l’oubli des tortures.
Frais comme l’eau sous la rame,
Un temps fort comme une femme,
Un temps à damner son âme
un temps à rire et courir
Un temps à ne pas mourir
Un temps à craindre le pire
Il fait beau comme jamais
ARAGON
Bien sûr, il ne faisait pas allusion à l'inceste mais l'oubli des tortures, d'où qu'elle viennent, ces trois mots m'arrachent des larmes. Je m'accroche à ce poeme, parfois, parce que la beauté est peut-être tout ce qui reste et qu'il faut la poursuivre et la faire perdurer.
Ecrasée par la solitude, c'est aussi un peu à vous que je m'accroche.
C’est un temps contre nature
Comme le ciel des peintures
Comme l’oubli des tortures.
Frais comme l’eau sous la rame,
Un temps fort comme une femme,
Un temps à damner son âme
un temps à rire et courir
Un temps à ne pas mourir
Un temps à craindre le pire
Il fait beau comme jamais
ARAGON
Bien sûr, il ne faisait pas allusion à l'inceste mais l'oubli des tortures, d'où qu'elle viennent, ces trois mots m'arrachent des larmes. Je m'accroche à ce poeme, parfois, parce que la beauté est peut-être tout ce qui reste et qu'il faut la poursuivre et la faire perdurer.
Ecrasée par la solitude, c'est aussi un peu à vous que je m'accroche.