Ce 06-06-2023, j'ai revu mes parents. Des pervers narcissiques. Des parents toxiques dominateurs, manipulateurs, sans scrupules, sans remords, addicts à la maltraitance.
D'elle-même, ma mère a le besoin de me parler de nouveau du SS pendant la seconde guerre mondiale, qui cirait ses chaussures... Que s'est-il passé lorsqu'elle était gosse ?... A moi, mon père militaire, lieutenant-colonel de l'armée de l'air, s'est imposé en revendiquant que je lui cire ses chaussures. C'était l'époque de la gifle. L'époque de mes 3 ans. J'ai été dans le coma suite à une gifle de ce "papa" là. Et, en anti-adulte, il a dû gueuler sur l'équipe médicale de l'époque pour qu'une fausse écriture soit notifiée sur mon carnet de santé, comme quoi, j'aurais fait une "crise convulsive", alors que j'avais bien été pendant 3 jours et 3 nuits dans un coma, suite à sa gifle ! Ensuite, coalition tacite familiale à réfuter les actes par : "tu ne sais pas ce que tu dis !", "tu n'as pas la connaissance du sens des mots", "qu'est-ce que tu ne vas pas t'imaginer ?"... Ma mère a enfin reconnu la gifle et le coma devant la PJ. Les témoignages de cousins ont alors attesté de ce lourd fardeau qu'ils devaient porter en silence, du silence tacite qui leur a été imposé. Cela a été libérateur je crois, pour eux de m'en parler. Mes cousins et cousines ont été des victimes collatérales. Par de la souffrance psychique où ils étaient pris en sandwich entre loyauté et obéissance.
Mon frère a commencé à m'agresser sexuellement par attouchements sexuels, puis par des attouchements et viols. J'ai connu l'inceste de lui, car mon frère a dépisté une opportunité pour. Puisqu'il m'était interdit d'être prise en compte par la famille. Opportunité alors pour lui, ce grand timide, à s'affirmer sur sa petite soeur. Il m'était interdit de réussir. Je devais être statuée de débile mentale. La débile mentale a fait son bac technologique de biochimie-biologie et l'a obtenu. La débile mentale a eu son diplôme d'état de pédicurie-podologie. Etudes paramédicales courtes pour être dans le libéral et gagner vite ma vie. J'aurais pu être kiné. J'ai choisi au dernier moment pédicurie-podologie. Car déclic/compréhension que lors des études, les étudiants allaient être les "cobayes" les uns des autres, pour pouvoir apprendre l'anatomie, la biomécanique,... Et alors ?... Être touchée. Et alors ?... Flashback de l'inceste de mon frère qui m'était revenu à la figure !
Récemment, souvenir d'une maltraitance de ma mère qui m'avait menottée lorsque j'étais gosse avec les menottes professionnelles de son mari lieutenant-colonel. Souvenir qu'elle avait tellement serré la dernière fois, qu'elle avait eu la pétoche de ne pas se démerder par elle-même pour me libérer. Cette "maman" là, c'est celle qui a la tronche de "la sainte ni touche". Ce "papa" là, c'est celui qui va se mettre à verser des larmes d'apitoiement au premier rang de sa cérémonie religieuse. Des comédiens hors normes ! Et... des bourges plus que bourges ! Des aristos. [...] Que s'est-il passé dans l'enfance de ma mère pour qu'elle soit maltraitante ?... Qu'est-ce qu'elle a connu de ce SS là ? Mon père est un extrême droite. Il était heureux à me le dire de lui même en 2018. C'est le type fanatique qui m'a agressée avec son couteau de cuisine [...] Mon frère était l'aîné qui se montrait timide dans la société. A huit clos, il était alors le tout permis/zéro interdit. Le futur patriarche qui se la pète. L'enfant-roi de ses parents puisque famille patriarcale, qui projètent sur leur fiston ce qu'ils appellent "l'honneur de la famille". Ce que je renomme : "l'horreur de la famille". Un con dans toute sa puissance... Un imbécile haut placé. Besoin pour lui de faire "son droit de cuissage" sur sa petite sœur pour qu'il ne sente pas penaud alors... Un type ingénieur informaticien sans scrupule aucun, sans remord aucun.
J'ai fait des tentatives de suicide. J'ai connu la corruption judiciaire à l'initiative de ma mère. Comme elle me l'a avoué en ce 06-06-2023, lorsque ma mère a appris que j'avais déposé plainte contre son fiston, elle a été voir sa cousine éloignée, alors magistrate juge d'instruction à Paris, et lui a demandé "quoi faire ?" Sa cousine a accepté de façon consciente et volontaire de corrompre la justice, en échange de quoi... Les cousins de son enfance allaient renouer les liens avec elle lorsqu'elle arrivera à la retraite. Elle faisait alors des crises d'angoisse de l'approche de sa retraite. Chantage psycho-affectif opérationnel venant de ma mère ! Mon frère a cru que l'affaire était dans sa poche et m'a provoquée en se moquant de moi par son "tu ne crois pas quand même que tu as exagéré ?..." J'ai appelé mon avocat. Magistrate corrompue ou non, je n'en avais plus rien à foutre ! Mon frère a été une loque, piteux devant la juge d'instruction officielle non corrompue. Il devait y avoir délibération s'il devait faire 15 ou 20 ans de prison. Il n'a pas fait une minute de prison : la cousine éloignée magistrate en 2003 avait postulé au poste supérieur pour avoir le dernier mot. Le dernier mot a été alors un "non-lieu sans innocenter la personne mise en cause". [...]
Je n'arrive pas à tourner la page. Je suis seule. Ma soeur est aussi malade que les parents et le frère. Elle est dans un blocage psychique/refuge à refuser, à entendre et à admettre la vérité. Elle sait au sujet de la corruption judiciaire sollicitée par notre mère. Et... je passe pour "une personne malade mentale" lorsque je dis à ma soeur que je souffre ! Que je ne suis pas insérée dans la société. Que je suis en dessous du seuil de pauvreté. J'ai téléphoné en juillet 2023 je crois à ma soeur. J'avais appris le 06-06-2023 qu'elle avait eu un accident. Première conversation depuis sans doute le 31-05-2021. Je pleurais d'émotion à l'entendre parler au téléphone et donc, à me rassurer qu'elle va bien ! Ma soeur me demande de mes nouvelles. Je les lui donne : en dessous du seuil de pauvreté, pulsions de suicide. Ton de lassitude alors qu'elle prend. Comme quoi, je suis un "cas". Le monde à l'envers. Je suis seule et il faut faire comme si tout va bien...