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takatitapakite
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Je reprend là les courriers rédigés de part et d'autre " victime bourreau" pour témoigner de mon parcours et de mon combat épistolaire à la recherche de la vérité ! que les bourreaux se rassurent les lois Françaises les protègent, prescription oblige ! Messieurs les procureurs, juges,députés,décideurs et faiseurs de lois arrêtez de protéger des monstres...
Premier lettre écrite le 14 MARS 2003
C'est toujours de façon respectueuse à ton égard que j'ais voulu aborder les question difficiles et douloureuses que, qui hantent ma vie depuis des années et qui ont fait de moi une éternelle victime inconsciente jusqu’au 18 août 1996.Pendant des années rien n'a fait surface, c'est en 1994,que les choses ont commencer a émerger du fond de mes souvenirs enfouis.
Un petit garçon auquel on propose de faire de la gymnastique,mais dans la nuit mais dans le noir,ça l'amuse au début le petit garçon,puis il se retrouve allongé sur une table de salle à manger avec quelqu"un qui lui parle de mort,il y est question de couteau, de flèche,de transpercer,on lui parle de Pierrot de Colombine et d'Arlequin, c'est ce dernier qui peut venir n'importe ou n'importe quand,il fait toujours noir cependant on voit les choses car il n'y a pas de volets à la grande baie vitrée de la salle a manger, puis une main s’approche du cou du petit garçon et appuie du coté droit avec les doigts,il n'a pas eu mal le petit garçon il a dut s’évanouir,peut être que la grande personne a voulu le faire mourir...
Lorsqu'il reprend conscience le petit garçon il a fait un quart de tour sur la table de la salle a manger mais il est toujours allongé sur le dos le petit garçon les jambes dans le vide mais maintenues en l'air ? il n'a pas mal il ne se rappelle plus très bien.Il sait qu'il a eu peur, peur de ne plus aller faire caca, il a eu peur d'avoir le trou des fesses bouché, cassé, il a eu peur que ça ne marche plus jamais , mais ça a remarché.
Une autre fois ,ou peut etre la même un grand le tenais tête en bas pieds en l'air mais là il y avait de la lumière et on faisait toujours de la gymnastique la t^te du petit garçon arrivait a la hauteur d'un sexe d'homme, un gros, il ne sait plus ce qu'il a fait avec le petit garçon mais il aeu ce sexe sous le nez, peut être même dans la bouche, peut être qu'il a jouer avec...
Ce qu'il sait le petit garçon c'est que du jour au lendemain il n'a plus jamais voulu boire de lait, il buvait son chocolat poulain avec de l'eau,ça a duré pendant des années,il n'a plus bien mangé ce qui inquiétais beaucoup sa maman ca a duré aussi pendant des années, selon mon frère il ne mangeais plus rien du tout.
Ce qu'il sait le petit garçonc' est que lorqu'il afait de la gymnastique de la vraie ! à D... LA B...il aimait beaucoup ça , mais ce qu'il n'arrivait pas a supporter c'etais cette impression de ne plus être entier il avait la tête completement vide il se sentait a côté de lui même,il était un autre et pas comme les autres,pas avec les autres petits garçons.Je n'ais pus mettre fin a ce "mal être" très profond qu'en arrêtant la gymnastique pourtant j'adorais ça !....
Quelques années plus tard le petit garçon ayant grandit là c'étais moi et il s'agissait bien de toi tu m'a proposé de venir en début de soirée écouter les Pink Floyd tu avait mis le disque fort tu as voulu qu'on s'allonge par terre l'un a coté de l'autre dans le noir complet le but avoué de cette manœuvre étais de m'apprendre a écouter, a ressentir des sensations de bien être et de relaxation, cela a durer un bon moment, il ne s'est rien passé et tu as mis fin a cette séance et tu paraissait très énervé, moi j'avais envie de foutre le camp mais je n'osais pas. Pour cet apprentissage tu ne voulais pas que ta femme donc ma sœur soit là car tu disait qu'elle ne savait pas se détendre et qu'elle nous aurait déranger. Vous habitiez ma sœur et toi chez Papa et Maman 1973.1974 Le comble c'est que mes parents étaient a la maison...
La dernière fois que j'ais cru mourir c’était à PIERR.... chez vous, en 1981 je dormais chez vous car je m’étais disputer violemment avec papa et maman cette nuit là j'ai rêvé que j' étouffais mais pour de vrai tout était très lent mais très irréversible j’étouffais sans souffrir vraiment maisj' étouffais je partais vers la mort pour de vrai , je me suis réveillé suffocant mais vivant il n'y avait personne autour de moi et j'avais trop peur pour appeler quelqu’un j'ais toutefois été malde cette nuit là ....
Voici la première lettre envoyée a mon bourreau il ya bien sur eu une réponse que je laisserais peut être une prochaine fois si les administrateurs de ce site m'y autorisent si je laisse cet écrit c'est non pas pour me faire plaindre mais pour témoigner ... J'ais cinquante ans a ce jour et je souffre encore de toute cette merde les bourreaux sont d'ignobles personnes sans affect et sans sentiments pour autrui il faut qu'ils sachent que nous refusons d'être leurs victimes et qu ils auront a rendre compte du mal qu'ils nous ont laisser si la loi sur la prescription des faits deviens "caduque"...
Premier lettre écrite le 14 MARS 2003
C'est toujours de façon respectueuse à ton égard que j'ais voulu aborder les question difficiles et douloureuses que, qui hantent ma vie depuis des années et qui ont fait de moi une éternelle victime inconsciente jusqu’au 18 août 1996.Pendant des années rien n'a fait surface, c'est en 1994,que les choses ont commencer a émerger du fond de mes souvenirs enfouis.
Un petit garçon auquel on propose de faire de la gymnastique,mais dans la nuit mais dans le noir,ça l'amuse au début le petit garçon,puis il se retrouve allongé sur une table de salle à manger avec quelqu"un qui lui parle de mort,il y est question de couteau, de flèche,de transpercer,on lui parle de Pierrot de Colombine et d'Arlequin, c'est ce dernier qui peut venir n'importe ou n'importe quand,il fait toujours noir cependant on voit les choses car il n'y a pas de volets à la grande baie vitrée de la salle a manger, puis une main s’approche du cou du petit garçon et appuie du coté droit avec les doigts,il n'a pas eu mal le petit garçon il a dut s’évanouir,peut être que la grande personne a voulu le faire mourir...
Lorsqu'il reprend conscience le petit garçon il a fait un quart de tour sur la table de la salle a manger mais il est toujours allongé sur le dos le petit garçon les jambes dans le vide mais maintenues en l'air ? il n'a pas mal il ne se rappelle plus très bien.Il sait qu'il a eu peur, peur de ne plus aller faire caca, il a eu peur d'avoir le trou des fesses bouché, cassé, il a eu peur que ça ne marche plus jamais , mais ça a remarché.
Une autre fois ,ou peut etre la même un grand le tenais tête en bas pieds en l'air mais là il y avait de la lumière et on faisait toujours de la gymnastique la t^te du petit garçon arrivait a la hauteur d'un sexe d'homme, un gros, il ne sait plus ce qu'il a fait avec le petit garçon mais il aeu ce sexe sous le nez, peut être même dans la bouche, peut être qu'il a jouer avec...
Ce qu'il sait le petit garçon c'est que du jour au lendemain il n'a plus jamais voulu boire de lait, il buvait son chocolat poulain avec de l'eau,ça a duré pendant des années,il n'a plus bien mangé ce qui inquiétais beaucoup sa maman ca a duré aussi pendant des années, selon mon frère il ne mangeais plus rien du tout.
Ce qu'il sait le petit garçonc' est que lorqu'il afait de la gymnastique de la vraie ! à D... LA B...il aimait beaucoup ça , mais ce qu'il n'arrivait pas a supporter c'etais cette impression de ne plus être entier il avait la tête completement vide il se sentait a côté de lui même,il était un autre et pas comme les autres,pas avec les autres petits garçons.Je n'ais pus mettre fin a ce "mal être" très profond qu'en arrêtant la gymnastique pourtant j'adorais ça !....
Quelques années plus tard le petit garçon ayant grandit là c'étais moi et il s'agissait bien de toi tu m'a proposé de venir en début de soirée écouter les Pink Floyd tu avait mis le disque fort tu as voulu qu'on s'allonge par terre l'un a coté de l'autre dans le noir complet le but avoué de cette manœuvre étais de m'apprendre a écouter, a ressentir des sensations de bien être et de relaxation, cela a durer un bon moment, il ne s'est rien passé et tu as mis fin a cette séance et tu paraissait très énervé, moi j'avais envie de foutre le camp mais je n'osais pas. Pour cet apprentissage tu ne voulais pas que ta femme donc ma sœur soit là car tu disait qu'elle ne savait pas se détendre et qu'elle nous aurait déranger. Vous habitiez ma sœur et toi chez Papa et Maman 1973.1974 Le comble c'est que mes parents étaient a la maison...
La dernière fois que j'ais cru mourir c’était à PIERR.... chez vous, en 1981 je dormais chez vous car je m’étais disputer violemment avec papa et maman cette nuit là j'ai rêvé que j' étouffais mais pour de vrai tout était très lent mais très irréversible j’étouffais sans souffrir vraiment maisj' étouffais je partais vers la mort pour de vrai , je me suis réveillé suffocant mais vivant il n'y avait personne autour de moi et j'avais trop peur pour appeler quelqu’un j'ais toutefois été malde cette nuit là ....
Voici la première lettre envoyée a mon bourreau il ya bien sur eu une réponse que je laisserais peut être une prochaine fois si les administrateurs de ce site m'y autorisent si je laisse cet écrit c'est non pas pour me faire plaindre mais pour témoigner ... J'ais cinquante ans a ce jour et je souffre encore de toute cette merde les bourreaux sont d'ignobles personnes sans affect et sans sentiments pour autrui il faut qu'ils sachent que nous refusons d'être leurs victimes et qu ils auront a rendre compte du mal qu'ils nous ont laisser si la loi sur la prescription des faits deviens "caduque"...