R
RAF
Inscrit il y a 11 ans / Actif / Membre
20
38
Bonjour,
Comme lorsque j'ai découvert le site aivi. Il m'a fallut un moment/des mois pour y arriver à réussir en fait.
Je recherchais des témoignages d'autres victimes hommes et gay ayant été victime comme moi.
Je trouvais pleins de témoignage de victimes femmes d'incestes et que peu de post provenant d'hommes. Mais aucun de ses témoignages n'étaient d'hommes gay ayant été victime d'incestes.
Alors pour tous les autres membres hétéros victimes d'incestes qui liront mon post. Je voulais vous dire de ne pas vous méprendre. Vos témoignages m'ont beaucoup apportés. Je me suis retrouvé dans des parties de chaque post que j'ai pu lire.
Mais au début du parcours et j'y pense réguliérement de créer ce sujet d'échange. Car c''était vraiment très frustrant de ne pouvoir échanger avec d'autres victimes hommes gay victimes d'incestes. ni de pouvoir lire les différentes difficultés et préjugés etc... de la part de la société et famille.
Par exemple une phrase que mon beau-père a fini par me sortir. Cela après avoir tenté de prétendre, que j'avais dis à 19 ans à ma génitrice avoir été violé par un cousin seulement pour me venger de ma génitrice et par pure méchanceté. Cela lors d'une dispute familiale sur les viols subis mon beau-père a fini par me balancer:
- "Et combien même si ça t'es vraiment arrivé ! T'as du aimer ça comme t'es homosexuel!".
La phrase se suffit en elle-même..
Bref, par rapport aux psy ou médecins, et autres intervenants.
Combien de fois, le fait d'oser leur dire:
J'ai entamé une procédure pénale en France par un dépôt de plainte. Car j'ai été victime d'incestes dans mon enfance et je suis gay.
Mon médecin traitant m'a directement dit qu'elle ne pouvait plus être mon médecin traitant en me disant de chercher au plus vite un nouveau médecin traitant.
Certains psy ont pris peur dès les thermes procédure pénale en France et on mis fin à l'entretien.
D'autre psy ont réussi à entendre jusqu'aux mots victime d'incestes. Puis certains, m'ont insultés. D'autres m'ont dit: Vous devriez avoir honte d'oser parler d'inceste car cela ne se fait pas! Et en plus porter plainte, vous vous rendez compte du mal que vous faîtes à votre famille! C'est inadmissible c'est honteux!
Et les psy les plus courageux qui ont réussi a entendre jusqu'à et je suis gay. Ce qui a fini de les achever ou ébranler toutes leurs convictions.
Un gars de 33 ans qui demande d'être suivi en cours de procédure pénale qui est en plus l'étranger en France. Cela après avoir osé porter plainte pour viols sur mineurs de moins de 15 ans contre des cousins germains et de surcroît qui ne se cache pas d'être gay.
Une seule des dizaines de psy contacté a accepté de me suivre. Tous les autres m'ont claqué la porte au nez moyennant insultes et autres.
Donc, je trouvais qu'un sujet spécifique aux victimes gay peut aider d'autre personnes...Rien que par le fait ne serait-ce de pouvoir lire les post et ou également poster leur expérience les rétissences qu'ils ont dû affronter.
Comme lorsque j'ai découvert le site aivi. Il m'a fallut un moment/des mois pour y arriver à réussir en fait.
Je recherchais des témoignages d'autres victimes hommes et gay ayant été victime comme moi.
Je trouvais pleins de témoignage de victimes femmes d'incestes et que peu de post provenant d'hommes. Mais aucun de ses témoignages n'étaient d'hommes gay ayant été victime d'incestes.
Alors pour tous les autres membres hétéros victimes d'incestes qui liront mon post. Je voulais vous dire de ne pas vous méprendre. Vos témoignages m'ont beaucoup apportés. Je me suis retrouvé dans des parties de chaque post que j'ai pu lire.
Mais au début du parcours et j'y pense réguliérement de créer ce sujet d'échange. Car c''était vraiment très frustrant de ne pouvoir échanger avec d'autres victimes hommes gay victimes d'incestes. ni de pouvoir lire les différentes difficultés et préjugés etc... de la part de la société et famille.
Par exemple une phrase que mon beau-père a fini par me sortir. Cela après avoir tenté de prétendre, que j'avais dis à 19 ans à ma génitrice avoir été violé par un cousin seulement pour me venger de ma génitrice et par pure méchanceté. Cela lors d'une dispute familiale sur les viols subis mon beau-père a fini par me balancer:
- "Et combien même si ça t'es vraiment arrivé ! T'as du aimer ça comme t'es homosexuel!".
La phrase se suffit en elle-même..
Bref, par rapport aux psy ou médecins, et autres intervenants.
Combien de fois, le fait d'oser leur dire:
J'ai entamé une procédure pénale en France par un dépôt de plainte. Car j'ai été victime d'incestes dans mon enfance et je suis gay.
Mon médecin traitant m'a directement dit qu'elle ne pouvait plus être mon médecin traitant en me disant de chercher au plus vite un nouveau médecin traitant.
Certains psy ont pris peur dès les thermes procédure pénale en France et on mis fin à l'entretien.
D'autre psy ont réussi à entendre jusqu'aux mots victime d'incestes. Puis certains, m'ont insultés. D'autres m'ont dit: Vous devriez avoir honte d'oser parler d'inceste car cela ne se fait pas! Et en plus porter plainte, vous vous rendez compte du mal que vous faîtes à votre famille! C'est inadmissible c'est honteux!
Et les psy les plus courageux qui ont réussi a entendre jusqu'à et je suis gay. Ce qui a fini de les achever ou ébranler toutes leurs convictions.
Un gars de 33 ans qui demande d'être suivi en cours de procédure pénale qui est en plus l'étranger en France. Cela après avoir osé porter plainte pour viols sur mineurs de moins de 15 ans contre des cousins germains et de surcroît qui ne se cache pas d'être gay.
Une seule des dizaines de psy contacté a accepté de me suivre. Tous les autres m'ont claqué la porte au nez moyennant insultes et autres.
Donc, je trouvais qu'un sujet spécifique aux victimes gay peut aider d'autre personnes...Rien que par le fait ne serait-ce de pouvoir lire les post et ou également poster leur expérience les rétissences qu'ils ont dû affronter.