« Je veux bien aider l’association, mais comment ? » est une question qu’on nous pose parfois. Selon votre disponibilité et vos motivations, il existe plusieurs manières de faire progresser la cause des enfants et de favoriser l’entraide entre les survivants de l’inceste avec l'AIVI. Voici 15 manières de contribuer concrètement :
1. Se tenir au courant en s’inscrivant à la newsletter. Vous recevrez environ un message par mois avec l'actualité de l'association.
2. Suivre notre page sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter) et relayer les informations qui vous paraissent importantes.
3. Participer aux forums sur le site de Face à l'inceste . Partagez votre détresse ou votre message d’espoir, demandez des conseils et du soutien ou bien tâchez d’en apporter aux autres. Où que vous en soyez de votre chemin personnel, ne restez pas isolé(e). En plus des forums le site permet également de dialoguer en direct avec le Chat.
4. Partager votre témoignage écrit et anonyme sur le site de Face à l'inceste . Les témoignages sont très importants pour ceux et celles qui les écrivent (et qui ont ainsi l’occasion d’exprimer leurs souffrances ou leur espoir avec leur propres mots) mais aussi pour ceux et celles qui les lisent : les survivant(e)s de l’inceste, leurs proches, les parents protecteurs, les professionnels de l’enfance ou de la santé. Libérer la parole des victimes, la faire entendre, c’est l’une des raisons d’être de notre association, et c’est aussi un outil de soins très efficace pour les personnes qui écrivent comme pour celles qui lisent.
5. Adhérer à l’association. L'union fait la force !
6. Contribuer à enrichir l’annuaire des professionnels en signalant ceux qui vous ont apporté une aide efficace (médecins, psychologues, avocats).
7. Faire un don pour soutenir financièrement Face à l'inceste . Notre association refuse toute subvention publique afin de préserver son indépendance. Les dons et cotisations sont notre seule source de revenus.
8. Diffuser des tracts et affiches autour de vous. On peut les commander gratuitement et en ligne.
9. Participer à notre assemblée générale annuelle. Elle est annoncée sur la Newsletter et se tient chaque année au mois de juin.
10. Écrire à nos députés ou à nos sénateurs lorsque des questions comme la protection de l’enfance ou la prescription des crimes sexuels sur mineurs sont évoquées par nos élus. L’expérience montre que c’est efficace : les élus répondent et parfois écrivent qu’ils ont changé d’avis suite au courrier reçus. Certaines victoires ont déjà été obtenues dans le passé comme le retour de l'inceste dans le Code pénal ou la prolongation de 10 à 20 ans du délai de prescription pour les crimes sexuels sur mineurs. Il reste bien des combats: abolition de la prescription, de la correctionnalisation des viols, révision de la notion de consentement
11. Participer aux évènements et faire la publicité de cet événement autour de vous (professionnels de la santé notamment)
12. Diffuser autour de vous l’information scientifique publiée par l’association, comme l’étude ACE (Adverse Childhood Experiences), ou le livre L’inceste : 36 questions-réponses incoutournables (Dunod, 15 février 2017) par Gérard Lopez et Isabelle Aubry qui est d’ores et déjà l’ouvrage scientifique de référence sur la question.
13. Approfondir grâce à nos ouvrages 100% utiles et orientés vers une aide efficace pour surmonter l'inceste. Nos ouvrages Être parent après l'inceste, Comment j'ai surmonté l'inceste et Vivre en couple après l'inceste sont en vente en librairie, par exemple à la Fnac. Nous tenons à proposer ces ouvrages au public afin de diffuser notre expertise et militer pour une vraie reconnaissance et protection des victimes d'inceste.
14. Suivre nos formations pour tout savoir sur l'inceste, ses conséquences sur la santé, les soins, la prescription pénale.
15. Devenir bénévole. Si vous avez le temps et la motivation de consacrer environ une demi-journée par semaine à l’association, rejoignez notre équipe de bénévoles ! Plusieurs postes sont actuellement à pourvoir.
Chaque action est importante, chaque geste compte. Soyez remercié(e)s de tout cœur pour votre aide !