Hier je discutai avec une amie. je la connais depuis bientôt deux ans. Parfois, elle s'étendai sur certain détail sur ses "pb" avec les garçons, que je ne voulai pas vraiment entendre... mais qui semblai me rappeler... exactement ce que je ressentai...
j'avoue que je n'avai pas vraiment envie qu'elle m'en parle plus.
je n'avai pas envi qu'elle me raconte. Je préfèrai me dire " mai non, je regardetrop la télé". J'était allé jusqu'a, un jour ou jétait au tel, lui faire une réflection en espérant que sa la bloquerai, pour qu'elle ne m'en parle pas ( elle començai a dire quelle que si elle n'avai pas encore eu de copain, il y avai une raison, et je lui est dit " o ses vache de ta part de ne pas le dire" ) me disant que si ce n'état rien, elle me le dirai, et je serai soulagé, mais si il sagissai de qlq chose de sérieux... et bien je laurai "bloqué" en étant un peu sèche.
Mais hier, je ne sais pas comment c'est venu dans la conversation, elle m'en a parlé. D'atouchement qu'elle avai subit. Et là, je n'ai même pas compris, j'ai parlé avant de réfléchir, j'ai tout de suite dit " moi aussi, quand j'avai 7 ans".
Tout d'un cou, tout est ressorti...
J'avai cru avoir oublié,je me disai que ce n'était pas vrai, sa ne pouvai pas être vrai, on ne pouvai pas avoir voulu me faire sa. Pourquoi? je n'avai rien fait, je n'avai que 7 ans.
Je vi dans un petit patelin... et j'aimai bien me promener dans les bois. j'y connaissai tout le monde. Un jour je croise un "gentil" monsieur, que j'avai toujours conu. je ne sais pas pourquoi, il avai son " pénis de sorti" . Il m'a demandé de venir. je naurai jamai du venir. mais je ne comprenai pas.
Après, je ne saurai exactement dire ce qu'il s'est passé. Hier, jétait sur de ce qu'il s'est assé, mais depuis, dautres souvenir s'enchaine. Je me souvien seulement qu'il voulai que je la lui touche. Qu'il se masturbai devant moi. Il voulai que je lui face un " bisous" , je ne pense pas avoir accepté. Car je me disai que ce n'était pas bien... mai je ne comprenai pas...
Il a bien voulu finalement que je m'en aille...
je suis tout de suite allé chez mes parents. Je ai dit a ma mère "**** m'a montré son zizi". je ne sais plus ce quelle a dit, mai elle semblai ne pas être ravi... elle le dit a mon père... qui se fout litéralement de nos gueule " o fau bien qu'elle aprenne" . ( ou qlq chose comme ça, je me souvien juste avoir compris que ct sa la vie... ) il ne sétait même pas levé, il disai sa en continuant a regardé sa télé... ma mère n'a plus rien dit, elle est très soumise.
Par la suite, je ne l'ai pas de nouveau rencontré... mais l'année suivante ( enfin, je ne sais plus les dates, mai la prmeière fois, jétait au CE1, la seconde, au CE2) . je devai vendre des autocolants pour une association permetant aux enfant démuni de partir en voyage. Je ne voulai pas allé toqué a sa porte. Je nétait pas aussi convaincu que mon père que c nétait rien. Je n'avai pas aimé. mais hélas, je l'ai croisé sur la route, lorsque j'en vendai a une autre voisine. Il ma demandé de lui en prendre, mais qu'il fallai que jaille chez lui car il navai pas dargent sur lui. Je n'ai pas osé dire non, après tout, ce nétait rien, un zizi, c'est la vie...
lorsque je ramaissai largent, il en a profité pour fermer sa porte a clé. il avai sorti encore son pénis. à cette instand j'ai été persuadé que mon père mentai, que ce n'était pas rien. il avai un tel regard... et son pénis... j'ai eu peur, j'ai vraiment eu très peur.
je me suis gjeté sur la porte, il me tenai..; je ne sias plus ce qu'il s'est passé, j'ai eu mal a la main, j'avai réussi a cassé la vitre en la frapant... a cet instand, il a dit " o, c'ets rien, je te laisse partir"
Je ne l'ai jamai di a mes parents. j'avai peur de me faire disputer pour la vitre. Je pensai qu'ils ne me croiraient pas. ils sétaient foutu de ma gueule la première fois. Mon père mavai encore prise pour un bb, je ne voulai pas qu'il le refasse.
Les année suivante, javai hésité a le dire, je voulai le dire. Mais ma mère a fait une dépression, était anorexique... menaçai régulirèement de se suicidé. était assez instable. Elle maimai, je m'en rendai bien compte, mais je nosai pas.
Je croi que j'avai oublié... jusqu'au moment ou arrive le temps des garçons. étonamenet, je croi être frigide. Je ne suporte pas le contact. j'ai essayé, j'ai déjà eu des copains. ma première expérience c'est mal passé, lorsque j'ai vu mon "copain" en érection, ça a vraiment coupé court a tout... j'ai dabord laissé faire. puis je suis parti et ne lui est plus jamai donné de nouvel.
j'ai déjà été limite violente, un jour en boite, quan un gars ma pris dans ses bras par derrière, je n'ai même pas compris ce qu'il marrivai que j'avai déjà oter vivement son bras, que je métait retourné, et visiblement pas aimable.. j'était avec une amie qui n'avai pas vraiment compris...
Mais moi non plus, je ne comprend pas. J'ai voulu , au moment des " premiers amours" en parlé a une amie, mais je ne savai pas comment le lui dire...
je n'ai pas eu le courage.
après tout, ce n'est rien, il ne s'est rien passé. Mais depuis hier, que j'en est parlé ( ce fut donc la prmeière foi ) je n'arrête pas d'y penser.
Je me rned compte que je n'aime pas le contact avec les hommes. Mais je me dit aussi que c'ets car je n'ai jamai été amoureuse. certainement que si je trouve laa perle rare, totu ira tout seul, non?
Voilà, je ne sais pas pouruqoi j'ai posté, mais depuis hier, je pensai l'avoir oublié, mais dès que j'ai eu la certitude de ce qu'avait subi cette amie, tout est revenue.
J'ai de la chance, puisque cette personne est morte. Mais je me sentai tellement mal quan je savai qu'il était dans les parages. il m'arrivai souvent de moccupé des animaux d'un de ses voisins. jy passai alors parfoi des journées entière, seule. je devai avoir dans les 11 ans. Et je gardai toujours prê de moi une " arme" ( un couteau, une fourche... ) me disant que si jamsi il savisai de venir, dapprocher. il ne m'aurai pas. pas encore. que je ne voulai pas. je ne comrpenai mêm pas pouruqoi j'avai tant de haine. tan de violence contre lui.
Il ne m'a pas violé, je ne suis même plus certaine de tout ce qu'il s'est passé. Mais j'ai du mal a me retenir de pleurer... d'un certain côté, jaimerai en parler, d'un autre, sa me choque tellement. ce n'est pas le genre de chose que l'on case dans les conversation de tout les jours. je ne sais même pas comment cette amie est venu a m'en parler, alors que je pensai avoir tout fait pour la "refroidire"...
Merci de m'avoir lu.